Le Chef-D’œuvre Inconnu

Une histoire fantastique et fascinante à partir d’un mystérieux tableau.

 

 

A Paris, au début du XVIIème siècle, trois peintres échangent sur leur art.

Le jeune inconnu promis à la gloire !
Le portraitiste à la Cour.
Le vieux maître qui travaille depuis 10 ans au chef d’œuvre de sa vie, qu’il ne veut pas montrer.

Ils en parlent...

Disons-le, voilà un spectacle tout à fait attachant. La mise en scène de Michel Favart favorise l’imaginaire. Catherine Aymerie se glisse dans les trois personnages, avec musicalité et subtilité. L’illusion est parfaite. Voilà ce qu’on appelle un pari réussi.  
Catherine Aymerie transmet cette prodigieuse et si vivante écriture avec grâce et maitrise, passant avec aisance de la narration aux dialogues, captivant l’attention de bout en bout. La mise en scène de Michel Favart donne prise a toutes les nuances du talent de l’actrice, faisant entendre le texte même, laissant se déployer l’imaginaire du spectateur grâce au pouvoir de l’écriture. Un pouvoir visionnaire...  Agnes Santi
Une merveille! Merci Catherine Aymerie et Michel Favart, qui a réalisé une mise en scène très sobre, mettant en lumière l’écriture élégante de cette nouvelle de Balzac toujours d’actualité. Marie Christine
Concentrés sur le cœur du récit de Balzac, Catherine Aymerie et son metteur en scène, Michel Favart, ont choisi de jouer à fond la sobriété. La scénographie de Florence  Evrard se refuse donc à toute référence à ce qui caractérise un atelier de peintre. Pas de tableaux ni de chevalets, simplement un fauteuil et un guéridon, un verre et un bougeoir. Pareillement, les lumières de Kostas Asmanis seront chargées d'exprimer les passages d'un atelier ou d'un lieu de Paris à un autre, pendant que sera toujours mis en avant le visage expressif de celle qui raconte et tient la clé de cette histoire. Quant à la musique de Massimo Trasente, elle surligne les questionnements et maintient jusqu'au bout un quasi suspense. Philippe Person
Pour se prononcer sur la mise en scène de Michel Favart, on pourrait s’emparer de la citation de Simonide de Céos, poète lyrique grec, « la peinture est une poésie muette et la poésie est une peinture parlante. » Au Théâtre Essaïon, le spectacle, magistralement interprété par Catherine Aymerie, lie l’art graphique, la poésie, le jeu théâtral et la vie. C’est un seul en scène qui, en réalité cache et déploie quatre personnages à la fois et qui fournit toute l’atmosphère pour donner vie à ce tableau parlant. Comme le titre l’induit, on est séduit par ce spectacle énigmatique qui favorise l’imaginaire. Carlo Biggioggero
Adapter et mettre en lumière cette fantastique nouvelle avec une seule actrice relève presque  du défi scénique ou d’une délicate folie !  Et pourtant c’est ce que va faire avec grande maestria la comédienne Catherine Aymerie.  Aidée d’une mise en scène intelligente et fine de Michel Favard qui la fait évoluer dans un  décor presque nu et avec peu d’accessoires, elle happe dès les premiers instants le spectateur  en privilégiant un contact direct avec lui.  Moussa Kobzilly 
Le chef-d'œuvre a été là sous nos yeux et nous ne pouvions imaginer une telle  incarnation de ce roman dont nous pensions connaître toutes les  interprétations pour l'avoir bien souvent étudié...Un bravo sans mesure à  Catherine Aymerie et Michel Favart, ainsi qu’à la Compagnie Théâtre de la  Rencontre, pour ce remarquable moment de spectacle.  Brigitte Corrigou  
Magnifique comédienne
 Un récit en forme de conte. C’est directement au public que la comédienne s’adresse, avec les moyens du conteur, c’est à dire rien ou presque. Elle est seule en scène, elle nous conte une histoire étrange, celle de 3 peintres. Nous voici projetés au début du XVII siècle, et nos 3 personnages sont les incarnations des 3 âgés de la vie. Catherine Aymerie apporte la beauté d’une élocution impeccable et toute en nuances… On a plaisir à l’écouter orchestrer les différents personnages, à nous faire pénétrer dans la vision quasi cinématographique de Balzac.  Sarah Franck
Si le suspense est au rendez-vous et la chute du récit aussi tragique qu’admirable, l’intérêt réside avant tout dans le discours et la manière dont tout cela est raconté. La leçon de peinture est passionnante et la comédienne, formidable. Nous sommes suspendus à ses lèvres. Catherine Aymerie se déplace très peu, bouge à peine et ne quitte jamais le plateau. Toute agitation semblerait ici superfétatoire. L’immobilité sied à l’intensité du propos. De même, elle ne se dévêtira pas de son élégant manteau à la belle doublure verte miroitante. Chaque geste est soigneusement mesuré et revêt une intensité d’autant plus grande. Seuls quelques effets de lumière, simples et efficaces, et un peu de musique relèvent les ellipses temporelles. Nous touchons là à la vérité du théâtre. Un grand texte, une grande comédienne, une salle propice à une belle intimité et le tour est joue ! Néanmoins la chose est suffisamment rare pour être saluée.  Isabelle Fauvel- 
C’est une histoire passionnante, une vision futuriste de la peinture.  Balzac évoque avec lucidité les polémiques qui enflammeront le monde de l’art et de la peinture du XX siècle jusqu’a nos jours, la reconnaissance d’une œuvre d’art. Dans une mise en scène de Michel Favart sobre et dynamique, Catherine Aymerie nous ensorcelle et nous émeut par la justesse de son jeu. C’est avec passion qu’elle nous entraine dans cette fabuleuse et fantastique histoire. » Claudine ARRAZAT- Crtiquetheatreclau.com
Il faudrait écrire des pages pour louer le travail des artisans merveilleux de cette réussite, au  rang desquels figure bien sûr le metteur en scène Michel Favart.On est captivé de bout en  bout par la flamboyante Catherine Aymerie qui réussit la gageure de faire vivre le texte  de Balzac. David Season - Les chroniques d'Alceste
RESERVER
  • Du 7 avril au 23 juin 2024: Les Dimanches à 18h
  • Du 10 avril au 19 juin 2024 : Les mercredis à 19h
  • Relâche les 21, 28 avril et le 12 juin 2024
  • Pour les places avec mot de passe, prendre la place au tarif 'enfant' et entrer le mot de passe dans la case 'prénom'
  • Théâtre classique
  • Durée : 70 mn
  • Tarif plein : 25 €
  • Tarif réduit * : 18 €
  • Tarif enfant ** : 15 €
  • * pour les moins de 26 ans, étudiants, plus de 65 ans, habitants du 4ème arrondissement, demandeurs d'emploi, intermittents du spectacle, associations et groupes de 10 personnes minimum, sur présentation d'un justificatif
  • Auteur : Honoré de BALZAC
  • Adaptation : Catherine AYMERIE
  • Mise en scène : Michel FAVART
  • Distribution : Catherine AYMERIE
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