Le Quai des Brumes

Jean, déserteur, arrive au Havre. Près des docks, chez Panama, le bar le plus tranquille de la côte,  il fait la rencontre de Nelly. C'est le coup de foudre. Sous l'emprise de Zabel, son effroyable tuteur, Nelly vit dans la peur. En ville, Lucien, un petit truand de quartier est à la recherche Maurice qui a disparu et Zabel sait quelque chose. Jean se retrouve pris au piège de ce terrible engrenage.


Un accordéoniste accompagne les comédiens, avec des mélodies composées spécialement pour le spectacle. Accordéon, en écho avec la langue populaire de Prévert, comme un souffle posé sur le destin de l’homme, son âme, ses désirs et ses rêves.
 

 Une adaptation théâtrale inédite tirée du scénario original de Jacques Prévert.

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Ils en parlent...

https://bclerideaurouge.wordpress.com/2017/11/19/le-quai-des-brum…-18h80-modele-th/
par Yves Poey Personne n'avait eu l'idée d'adapter ce scénario, le pari est gagné haut la main !
Par Gilles Costaz La mise en scène garde l’intensité des mots colorés de Prévert au bord des larmes et au bord du drame. C’est de la parole en action, mais c’est beau comme ses poèmes. Le transbordement de l’écran au plateau est parfait.  On embarque !
Par Jean-Luc Jeener   Projet réussi. De bons comédiens,  une émotion qui passe. Le metteur en scène a su donner du rythme et créer une atmosphère. Son adaptation et sa mise en scène sont astucieuses.
Théâtral magazine Par Victoria Hatem  Prévert reste intact. La mise en scène traduit un souci d'authenticité, le cinéma a laissé sa trace et l'inventivité de la  scénographie ne perd jamais de vue la beauté de ce décor en mouvement, pour un théâtre poétique.            
Par Nicolas Arnstam C’est avec sincérité que la parfaite distribution de ce spectacle parvient à emporter le spectateur. On navigue d’émotion en émotion . Du très beau travail.
La mise en scène ingénieuse réussit, grâce à quelques accessoires bien trouvés et à l’accompagnement de Pamphile Chambon et l’accordéon, à faire revivre l’ambiance des docks du Havre dans les années 1920 et à reconstruire rapidement les différents lieux où déambulent les personnages, du tracteur à l’appartement de Zabel en passant par le bar de Panama et le fameux quai des brumes lui-même. Sara Viot y campe une amoureuse pleine de sincérité, qui pourrait en effet faire chavirer n’importe quel homme, et qui se retrouve malgré elle au cœur des jalousies et des intrigues qui finiront hélas tragiquement. Les six interprètes nous offrent un spectacle à la fois sombre et intense qui donne envie de (re) découvrir le film original. https://plumechocolat.wordpress.com/2017/10/29/le-quai-des-brumes/#more-5141
 Par Sébastien Scherr  Les scènes se succédent avec une fluidité magique à un rythme endiablé. Un spectacle fort et émouvant. A voir absolument.
DE LA COUR AU JARDIN - par Yves Poey Personne n'avait eu l'idée d'adapter ce scénario, le pari est gagné haut la main !    
La mise en scène centre l’attention sur les émotions. Les comédiens sont vifs et engagés. Un spectacle réussi qui oscille entre réalisme et onirisme.
Des mots pour vous dire -  par Armelle Gadenne Un spectacle de très grande qualité. Allez à l’Essaïon voir cette pépite.
Une adaptation remarquable superbement interprété. Un hymne au sentiment. Evelyne Tran
LE QUAI DES BRUMES Par Xavier Paquet S’attaquer à un monument est un audacieux pari. Le réussir est un joli exploit ! On retrouve dans cette version théâtrale toute la gouaille de Jacques Prévert : la poésie d’un texte simple et profond teinté d’argot et de langage populaire. On y découvre surtout une ambiance digne d’un plateau de cinéma, le tout accompagné par un accordéoniste. Le réalisme poétique de la pièce et l’ingéniosité de sa mise en scène portent un regard trouble sur la nature humaine. Mais dans les silences profonds naît et germe l’amour : un amour inattendu, brutal, magique et tragique à la fois.    Comme un rayon de soleil qui illumine le Quai Des brumes, assurément le coup de cœur de la rentrée!
  • Du 6 octobre 2017 au 14 janvier 2018,
  • les vendredis, samedis à 19h30 et les dimanches à 18h
  • Relâches : 24 et 31 décembre
  • Rubrique : théâtre contemporain
  • Durée : 80mn
  • A partir de 12 ans
  • Tarif plein : 25 €
  • Tarif réduit * : 15 €
  • * pour les moins de 26 ans, étudiants, plus de 65 ans, habitants du 4ème arrondissement, demandeurs d'emploi, intermittents du spectacle, associations et groupes de 10 personnes minimum, sur présentation d'un justificatif
  • Auteur : Jacques Prévert
  • Mise en scène : Philippe Nicaud
  • Distribution : Idriss, Sara Viot, Fabrice Merlo, Pamphile Chambon, Sylvestre Bourdeau, Philippe Nicaud
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