Seul en scène, G. Ponté, par la seule puissance du geste et de la parole, parvient à nous faire ressentir la révolte d’un homme face à l'injustice.
Jusqu'à sa trentième année, cet homme extraordinaire aurait pu passer pour le modèle du bon citoyen. En un mot, le monde aurait béni sa mémoire sans les circonstances qui l'amenèrent à pousser à l'excès une seule vertu, le sentiment de la justice, et en firent un brigand et un meurtrier.